Région Campanie, la lutte contre les cybermenaces

Présentation générale

La région de Campanie, qui compte plus de cinq mille employés et d’autres entités opérant dans son écosystème, dispose d’un pouvoir législatif en matière d’aménagement du territoire, de dotation en infrastructures, de planification et d’organisation des services sanitaires et sociaux, de promotion du développement économique local, et bien plus encore.

Le défi

Dans le domaine de la sécurité informatique, le principal défi pour la région de Campanie est de rester en phase, jour après jour, avec l’évolution des menaces et des technologies. Dès le départ, plusieurs initiatives ont été mises en place, axées à la fois sur l’infrastructure numérique et sur le développement d’un niveau adéquat de formation et de sensibilisation de la composante humaine.

Avec le modèle proposé par Cyber Guru, les personnes deviennent le pivot de la sécurité numérique, garantissant l’adoption correcte des pratiques les plus avancées en matière de cyberprotection.

La région de la Campanie, compte tenu de sa taille et de son exposition, est une cible sensible pour les cybercriminels et doit faire face à des défis importants dans le domaine de la cybersécurité. « Outre les attaques mécaniques massives telles que l’hameçonnage et les tentatives d’exploitation des vulnérabilités, la région fait également l’objet de manœuvres plus ciblées de la part d’acteurs plus organisés. Par exemple, en septembre 2023, nous avons été confrontés à une cyberattaque d’une certaine importance, qui a été interceptée et déjouée avec succès ». Mario Bolignano, responsable des systèmes d’information et de technologie de la région Campanie, dont le siège est situé au cœur de Naples, à Santa Lucia.

« Le principal défi dans le domaine de la sécurité informatique est de suivre jour après jour l’évolution des menaces et des technologies… Dès le début, plusieurs initiatives ont été mises en place qui se concentrent sur l’infrastructure numérique, mais aussi sur d’autres aspects : il est crucial d’investir dans la composante humaine », poursuit M. Bolignano. « Avec plus de cinq mille employés et d’autres personnes travaillant dans notre écosystème, il est clair que tous les problèmes de sécurité ne peuvent pas être résolus uniquement par l’achat et la configuration de logiciels et d’équipements. Il est nécessaire d’amener toutes les personnes qui, d’une manière ou d’une autre, utilisent ou aident à gérer l’infrastructure à un niveau de formation et de sensibilisation adéquat. »